Comme une bulle qui ne cesse de gonfler, la baise au téléphone gagne de plus en plus du terrain. Dans les activités liées au sexe, il détient une part non négligeable qui mérite qu’on s’y penche. Les années 80, époque de naissance des technologies avancées, un système de communication appelé minitel a vu le jour. Facile d’utilisation, il a très vite été adopté par les consommateurs. L’effet s’est donc étendu à plusieurs domaines et, celui de l’érotisme n’était pas en reste. À une certaine époque, le dial coquin se passait via des supports dont la technologie ne permettait pas aux demandeurs de discuter comme et quand ils veulent. La marge de manœuvre était tellement faible que lors de l’avènement du minitel, les rois de l’industrie du dial coquin ont sauté dessus. Le résultat était simplement époustouflant.
Les hommes ont adhéré en masse et le minitel rose a connu un succès fulgurant, succès qui s’est éteint en France dans les années 2012 quand l’une des compagnie leader en a demandé l’arrêt définitif, pour laisser, évidemment place, au tél rose qui était devenu le roi du marché. De nos jour, la baise au tel enregistre des scores d’audience dont les chiffres donnent le vertige. Mais, qui sont ces hommes que cette pratique attire tant ? Vous serez étonné de constater que, parmi les utilisateurs de tel rose, les hommes mariés occupent une part importante. En manque d’affection ou simplement curieux ?
Ils sont nombreux derrière leur ligne rose à tromper leurs épouses avec la salope au tel qu’ils choisissent à la carte. Ensuite, les célibataires, occupant la plus grande part de représentativité. Pour ces derniers, rien de plus normal quand on vit seul ou dans une relation libre. Comme les hommes mariés, ils aiment fricoter avec la cochonne au tel. Elle sait leur comprendre, n’a aucun tabou, réalise tous leurs fantasmes. Si ce n’est pas depuis leurs appartements que ça se passe, les coups de fil viennent aussi des lieux de travail.